Bataille du Tête de Sanglier

Le 1er Juillet 2006 les yeux du monde se tourné sur la Somme une région de France, comme nous nous sommes rappelés le 1er jour de la Bataille de la Somme, un jour noir dans l’histoire du vingtième siècle. Il y avait des cérémonies officielles et officieuses dans toute la région pour présenter nos respects aux milliers d’hommes qui ont payes le prix final en ce jour.

C’est peut-être étonnant que le 30 Juin soit passé presque inaperçu pendant les dernières quatre-vingts neuf années. Pourtant ce jour a tenu une grande signification pour les personnes du Sussex, pour le 30 Juin est connu comme

“Le jour où Le Sussex est mort.”

Entre les villes de Béthune et Armentières, dans Pas de Calais, se trouve Richebourg l’Avoue. Richebourg est entouré de villages et de petites villes, certains d’entre eux ont des noms plus connus, surtout pour ceux qui ont un intérêt particulier pour la Grande Guerre. Aubers, Festubert, et Neuve Chapelle sont seulement quelques des scènes de batailles qui ont eu lieu en 1915. Si vous parlez de la bataille de Richebourg la plupart des gens haussent les épaules et vous regarde d’un air d’incompréhension. Pourtant Richebourg a joué un rôle significant, si quelque peu douteux, dans la Bataille de la Somme, et est bien connu dans l’histoire des Lowther’s Lambs, les 11ème, 12ème et 13ème Bataillons Officiels du Régiment du Royal Sussex.

La bataille du “Boar’s Head” (La Tête de Sanglier), à Richebourg l’Avoue, a été présenté comme une action de diversion pour faire croire aux Allemands que ce secteur du Pas de Calais avait été choisi pour l’offensive principale de 1916. L’intention était d’empêcher les Allemands de faire venir leur troupes mobiles à la région de la Somme qui été à environ cinquante kilomètres Sud.

Les troupes Britanniques avaient combattu dans le secteur depuis 1914. Les 2ème et 5ème Bataillons du Royal Sussex, avaient combattu a Richebourg pendant la bataille de “l’arête d’Aubers”, en Mai 1915, et en Juin de 1916 est venu le tour des trois Bataillons du Southdowns, qui ont ensemble formé la 116ème Brigade de la 39ème Division. Ils son arrivés en France le 5 Mars 1916, et se sont établis dans les tranchées prés de Fleurbaix le 20 Mars.

Le 11 Juin, les trois bataillons sont allés à la Réserve Divisionnaire de Locon et ont commence a se préparer pour une attaque (qui n’était qu’une rumeur a ce moment la). Le 16 Juin ils sont revenu dans les tranchées de la ligne de front prés de la Ferme du Bois a côté Richebourg; ils tiendront la ligne jusqu’au 23 Juin, en ce jour ils reçoivent des instructions qui dissent que la 39ème Division allé attaquer ‘Boar’s Head’, en saillant des lignes allemandes, et que la 116 ème Brigade du Southdown, avait choisi pour mener l’attaque. Beaucoup de préparation aura lieu. Une reproduction du champ de bataille avait même été reconstruis a l’arrière des lignes, mais les bataillons n’ont eu seulement quelques jours au lieu de semaine pour se préparer a cette bataille.

Les plans initiaux avaient été que le 11ème Bataillon allé mener l’attaque, avec le 12ème sur la droite, et le 13ème de réserve. Au moment ou les ordres ont été reçues, Lieutenant Colonel Harman Grisewood, été le commandant en chef du 11ème . Grisewood avait perdu son frère, l’Adjudant Major, qui avait succombe a une maladie quelques mois auparavant seulement, a Merville. Ceci l’avait profondément touché Colonel Grisewood, Apres avoir vu les plans, des doutes ses troupes n’étant pas familiariser avec le terrain le résulta pouvait être désastreux et il aurait alors dit a son Commandant de Brigade

“Je ne sacrifie pas mes hommes comme fourrage a canon!”

Inutile de dire que l’attaque a du avoir lieu mais le commandant divisionnaire, R. Général Principal. Dawson, sachant les commentaires de Grisewood et ayant peur que ces mots attaignent les oreilles des hommes du 11ème Bataillon. Grisewood a été congédie et les rôles du 11ème et 13ème Bataillons ont été inverses. La veille de la bataille, Grisewood a quitte ses homes et n’est jamais revenu. Après quelques temps passe en Angleterre, il a joint le 17ème Manchesters en 1917 et les a commandés sur le terraine jusque a qu’il soit sévèrement gaze.

Par conséquent ça a été les 12ème et 13ème Bataillons, avec la moitié des 11ème charge de l’approvisionnement, qui ont fait les préparations finales le 29 Juin. Rassembles dans les tranchées du secteur de Richebourg aux petites heures du 30 Juin prés pour la prochaine attaque qui avait comme but de “détruire la position des Allemande connue sous le nom de ‘Boar’s Head’, pour leur faire croire que l’offensive principale été ici et non dans la Somme“.

À deux heures moins dix du matin le bombardement préliminaire débuté, des préparations finales ont été faites, et des échelles de graduation ont été placées contre les côtés de fossé pour permettre aux hommes d’aller “over the top”.

Dans son récit sur l’histoire du régiment Martineau écrit :

“Les récits de son propre bataillons sont souvent plus éloquents que ceux écrit par d’autres. Cependant, avec malgré quelques différences superficielles on trouve de nombreux points commun avec les récits de la Brigade du Southdown.

Ainsi, le 11ème Bataillon, tandis que charge de l’approvisionnement pour la 12ème et de la 13ème le jour de l’assaut de Richebourg et de la Ferme du Bois ont eux. 116 accidents dans ce seul service. Le 12ème Bataillon se réunissant dans la ligne de front a la Ferme du Bois, tandis que l’artillerie bombardait les tranchées ennemis, a attaqué à trois heures cinq du matin. Le 30 Juin la ligne de front a été saissi et tenu pendant quatre heures contre les forces Allemandes considérablement supérieures, et a même atteint de soutien qu’ils ont tenu pendant une demi-heure.

Naturellement ça ne pouvait pas durer. Les Allemands étaient prêts. Il y a même une anecdote qui raconte qu’un homme a rapporté un mot en anglais qui disait: “Avancé Garçons du Sussex. Ca fait trois jours que nous nous attendons!”

Les tranchées de la ligne du front et celles de communications été malheureusement non accessible ce qui a empêché le re-approvisionnement de bombes et de munitions. Les survivant vaillants on été obligés de se retirer. Le Bataillon perdu 429 hommes dont 17 officiers.”

Le journal intime de guerre du 13ème Bataillon a fait un exposé plus détaillé de l’attaque

“FERME DU BOIS. Le Bataillon s’est réuni à une heure et demi. Le matin du 30 Juin pour faire assaut avec chacun des quatre pelotons très prés de la ligne de front.

Le bombardement préliminaire le matin de l’attaque s’est ouvert à trois heures moins dix, et à trois heures cinq la principale vague du Bataillon a mesuré le parapet, le reste suivant à 50 yards d’intervalle. En même temps l’attaque de flanc sous Lts. Whitley et Ellis ont pris une pose dan la tranchée ennemi. Le passage de Southdowns à travers ‘NO MAN’S LAND’ a été accompli avec peu d’accident a l’exception de la compagnie de gauche qui a été sous les feux de mitrailleuse lourds.

Les deux compagnie de droite on réussi à atteindre leur objectif, mais les deux compagnies de gauche ont seulement réussi à pénétrer la ligne ennemi en un ou deux endroits.

Un nuage de fumée crée à l’origine pour pouvoir camoufler la progression des hommes les a cependant empêche d’avancer de plus de quelques yards du au manque de visibilité. Ceci a eu comme conséquence de complètement désorienter les hommes.

Quelques groupes ont réussi à écrire a la ligne de soutien, engageant l’ennemi avec des bombes et a la baïonnette, et organisant les étapes initiales d’une défense.

D’autres sont allé bien plus loin vers la droite et sont entrés dans le tranchee où la partie de flanc fonctionnait, entraînant beaucoup de congestion.

Du côté gauche, la fumée et l’obscurité ont rendu la pénétration de la ligne ennemi si difficile peu, si peu, ont réussi à atteindre la ligne ennemie de soutien, là où ils ont été soumis à un bombardement intense H.E. et whizz-bangs.

Capitaine Hughes, qui a été blessé, voyant que sa compagnie été en danger d’être coupé, a donné l’ordre d’évacuer les tranchées ennemis, et le reste de la force attaquante s’est rapatrié dans nos tranchées

L’ennemi, qui été évidemment bien préparé, a maintenant concentré son énergie sur la ligne de front, et, pour l’espace d’environ deux heures et demi, nos lignes d’avant et de soutien ont été soumises à un bombardement intense avec des obus lourdes et légés entraînant un grand nombre de morts. . . Les pertes du cote ennemi ont également été considérables. Un grand nombre de cadavres étant visible dans les tranchées ennemis.”

Pendant l’attaque, la majorité des officiers ont été tuées ou blessées, pelotons, sinon compagnies mené par NCOs.

On se rappellera notamment du Sergent Major Nelson Victor Carter, âge de 29 ans appartenant a la compagnie d’Eastbourne dans le Sussex. CSM Carter, Compagnie “A”, 12ème Bataillon, a mené la quatrième attaque sous les obus et les mitrailleuse. Des matchs de bombardement ont eu lieu, mais après de pertes lourds les hommes ont été oblige de se retirer.

CSM Carter a attaqué alors un poste de mitrailleuse qui causait beaucoup de problème, il a tue le mitrailler avec son pistolet et a ensuite utilise cette même mitrailleuse pour tirer l’ennemi qui l’entoure. Ceci a permis a ses hommes de se retirer plus facilement, il les a rejoin lui-même plus tard.

Cette attaque n’a durée que trente minutes, CSM Carter a continue a aider au rapatriement derrière la première ligne, plus tard dans la journée alors qu’il ramené des blesses il recevra une balle fale en pleine poitrine et il moura presque immédiatement. CSM Carter recevra la ‘Victoria Cross’ en hommage a ses efforts.
La Citation a lu comme suit :

London Gazette, 9 September 1916,

Boar’s Head, Richebourg l’Avoué, France, 30 June 1916, Company Sergeant-Major Nelson Victor Carter, 4th Company, 12th Bn., Royal Sussex Regiment.

“For most conspicuous bravery. During an Attack he was in command of the fourth wave of the assault. Under intense shell and machine gun fire he penetrated, with a few men, into the enemy’s second line and inflicted heavy casualties with bombs. When forced to retire to the enemy’s first line, he captured a machine gun and shot the gunner with his revolver. Finally, after carrying several wounded men into safety, he was himself mortally wounded and died in a few minutes. His conduct throughout the day was magnificent.”

“Pour un courage remarquable. Pendant une attaque il était aux commandes de la quatrième vague de l’assaut. Sous les obus et les feux de mitrailleuse violent il a pénétré, avec quelques hommes, dans la ligne ennemi. Une fois forcé à se retirer à la première ligne ennemi, il a capturé une mitrailleuse et a tue le mitrailleur de son revolver. Enfin, après avoir rapatrier plusieurs de ses hommes blesses en sûreté, il a lui-même été blesse gravement et trouvera la mort en quelque minutes. Sa conduite tout au long de la journée avait était exemplaire.”

Ce qui suit est un extrait d’une lettre écrite par le Lieutenant Howard Robinson, Commandant de la Compagnie de Carter, à Kathleen Carter: l’épouse de Nelson.

“When I last saw him he was close to the German line, acting as leader to a small party of four or five men. I was afterwards told that he had entered the German second line, and had brought back an enemy machine gun, having put the gun team out of action. I heard that he shot one them with his revolver. I next saw him about an hour later (I had been wounded in the meanwhile and was lying in our trench). Your husband repeatedly went over the parapet. I saw him going over alone and carrying in our wounded men from ‘No Man’s Land’. He brought them in on his back, and he could not have done this had he not possessed exceptional physical strength as well as courage. It was in going over for the sixth or seventh time that the was shot through the chest. I saw him fall just inside our trench.

Somebody told me that about a month previously your husband carried a man about 400 yards across the open under machine gun fire and brought him safely into our trench. For this act I recommended him for the Military Cross. On every occasion, no matter how tight the hole we were in, he was always cheerful and hopeful, and never spared any pains to make the men comfortable and keep them cheery.”

“ Quand je l’ai vu pour la dernière foi il était près de la ligne Allemande, a la tête d’un groupe de quatre ou cinq d’hommes. J’ai apris plus tard qu’il avait réussi a pénétrer la deuxième ligne Allemagne et avait ramené avec lui une mitrailleuse qu’il avait confisque a l’ennemi après avoir tue le mitrailler et son équipe de son pistolet. Je l’ai revu ensuite plus d’une heure avait passe (j’avais été blesse moi-même pendant ce temps été couche dans notre tranchee). Votre mari est à plusieurs reprises allé par dessus le parapet. Je l’ai vu plusieurs fois seul et portant nos hommes blessés dans la bataille. Il les a rapportés les pourtant souvent sur son dos et il n’aurait pas pu faire cela si il ne possède pas d’une force physique exceptionnelle, et d’un courage immesurable. Il a été tire dans la poitrine a son sixième ou septième voyage. Je l’ai vu tomber juste à l’intérieur de notre tranchee.

Quelqu’un m’a dit qu’environ un mois auparavant votre mari avait transporté un homme sur 400 yards environ sous les feux de mitrailleuse et l’a ramené en vie dans notre tranchee. Pour cet acte je l’ai recommandé pour la Croix Militaire. Quelque soit la situation et a tout moment il était toujours gai et plein d’espoir et ne se plaignais jamais de douleur a fin de réconforter ses hommes et de les maintenir gais.”

Company Sergeant Nelson Carter est enterré au cimetière du Royal Irish Rifles, a Laventie, en France.

Egalement faisant parti de l’action se jour la était Private (SD/2389) John Searle de Worthing appartenant a la compagnie de “B” du 12ème Bn. Le plus jeune d’une famille du cinq garçons, Pte. Searle avait juste quatorze ans et demi qu’en il s’est engage et il n’avait pas encore seize an qu’en il a combattu dans la Bataille du Tête de Sanglier.

Sur le monument de Guerre a Loos-en-Gohelle, Private John Searle a été inscri sous la liste des disparus au combat. Il a fait parti de ceux dont le corps n’on pas le corps n’on pas été retrouve après la bataille.

Parmi les rares âmes poètes qui ont commande ces bataillons était Edmund Blunden. Ses ‘Undertones of War’ raconte de façon simplistique la vie qu’ont vécu les hommes a ses cote et parle des hommes eux-mêmes, ceci est très révélateur. Sur la bataille qui a eu lieu près de Richebourg, il a écrit :

“What the Brigade felt was summed up by some sentry who, asked by the General next morning what he thought of the attack, answered in the roundest fashion, ‘Like a butcher’s shop.’ Our own trenches had been knocked silly, and all the area of the attack had been turned into an Aceldama.”1

“Ce que la brigade a vécu peut-être résume par le récit d’une sentinelle qui a dit son General le lendemain de la bataille : ‘une vraie boucherie.’ Nos propres tranchées ont été complètement démolies toutes les attaques on été transformées en Aceldama.”

La Bataille du Tête de Sanglier a duré moins de cinq heures.

La Brigade de Southdowns a perdu 17 officiers et 349 hommes ont été tué, ou porte disparu.

Plus de 1000 ont été blessés ou fait prisonnier.

Le 13ème Bataillon était pratiquement complètement.


Merci aux Maires de Richebourg et d’Aubers. Un service de commémoration a eu lieu au Cimetière de Richebourg St. Vaast, le 30 Juin 2006, a 18.00hrs. (heure locale).


Egalement le 30 Juin 2006 des gerbes ont ete déposés au Monument aux Morts de Loos-en-Gohelle, et sur la tombe de CSM Carter au du Royal Irish Rifles, a Laventie


Depuis l’anniversaire quatre-vingt-dixième
nous nous sommes rappelés les.

WE REMEMBERED THEM..


Nous essayerons de continuer à faire ainsi à Le Cemetière Militaire de Richebourg St Vaast Post à 17.00hrs Le Dernier Samedi en Juin jusqu’au 100th anniversaire.


La 100th Commémoration d’Aniversary sera à 17.00hrs le 30 Juin 2016.

Dieu voulant nous serons là.


Cimetières principaux de La Bataille du Tête de Sanglier:

Je présente toutes mes excuses au Français pour ma traduction.
Mon Français n’est pas bon, mais j’ai essayé !

  1. Aceldama – a battlefield; a place with dreadful associations (Aramaic: “field of blood,” the name given to the “potter’s field” bought with Judas’s filthy lucre)(accent on second syllable)